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wanku, quand tu peux finir ?

9 mars 2011

2010, l'année la plus meurtrière pour les civils afghans

Une recrudescence des erreurs des forces internationales a de nouveau provoqué ces derniers jours la colère des Afghans et du président Hamid Karzaï. La force de l'OTAN, emmenée par les Américains, est accusée d'avoir tué au moins 65 civils à deux reprises fin février dans la province de Kunar (Est) en visant des insurgés, et neuf enfants le 1er mars. Le président afghan a réaffirmé, lundi, que son peuple voulait "la fin" des victimes civiles de l'ISAF, et non une simple réduction de leur nombre, en soulignant qu'elles étaient la principale cause de la détérioration des relations entre Kaboul et Washington.

L'année 2010 a été la plus meurtrière pour les civils en neuf ans de guerre entre les talibans et les forces internationales et nationales en Afghanistan, selon l'ONU.AP/Fraidoon Pooyaa

 

 

L'année 2010 a été la plus meurtrière pour les civils en neuf ans de guerre entre les talibans et les forces internationales et nationales en Afghanistan, selon l'ONU.

L'année 2010 a été la plus meurtrière pour les civils en neuf ans de guerre entre les talibans et les forces internationales et nationales en Afghanistan. Avec 2 777 morts, le nombre de civils tués l'an dernier a ainsi augmenté de 15 % par rapport à 2009, indique le rapport annuel conjoint de la Mission d'assistance des Nations unies en Afghanistan (Unama) et de la Commission afghane indépendante des droits de l'homme, mercredi 9 mars.

Les insurgés, talibans ou autres groupes fondamentalistes, sont directement responsables de la mort de 75 % de ces civils, contre 16 % pour les forces internationales et afghanes, selon le rapport. Les enquêteurs des Nations unies et de la commission afghane n'ont pu attribuer de responsabilité pour la mort violente de 9 % des civils. Les attentats-suicides et les bombes artisanales, les deux armes de prédilection des talibans, ont tué 1 141 civils en 2010, et les frappes aériennes des forces alliées 171, selon ce rapport.

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8 mars 2011

Décision attendue sur le report du procès Chirac

Indifférent à ces péripéties, Me Jean-Yves Le Borgne plaide sa question prioritaire de constitutionnalité (QPC). Selon le conseil de Rémy Chardon, ex-directeur de cabinet de M. Chirac, la prescription du dossier de Paris ne peut pas être interrompue par la continuité du dossier de Nanterre. Et la justice s'égare quand, abritée derrière une jurisprudence constante, elle considère que le délai de prescription, pour certains délits financiers, n'est pas de trois ans, comme le stipule la loi, mais «de quinze ou vingt ans»- il court alors non pas de la date de commission des faits, mais du moment où ils sont découverts.

 

Le procureur de Paris prend la parole. Il est venu en personne justifier la prise de position du parquet

Est-ce donc ainsi que cela commence, un procès «historique»? Par un défilé de parties civiles grotesques soutenant n'importe quoi - «Nicolas Sarkozy n'existe pas», entre autres -, dont deux se font expulser par le président et sortent, qui en pestant, qui en se tortillant comme un ver de terre, porté par quatre gendarmes? Par la vacuité d'un fauteuil en plein centre du prétoire, vers lequel convergent tous les regards, alors que l'appel des prévenus évoque un mini-Gotha de la Ve République - ils ont pour nom Debré, de Gaulle ou Chirac, mais ce dernier, comme prévu, n'est pas là?

Le procès des emplois fictifs de la Ville de Paris s'est ouvert

7 mars 2011

L'UMP cherche des victoires symboliques aux cantonales

Reste que les espoirs, à gauche comme à droite, pourraient être contrecarrés dans plusieurs régions par la poussée du Front national relevée par les enquêtes d'opinion. Si la forte abstention pressentie se confirme, plusieurs candidats du FN pourraient se qualifier pour le second tour au détriment, c'est selon, d'une gauche divisée ou d'une UMP en berne électorale. Cette floraison de duel gauche-FN ou UMP-FN seraient encore favorisée par le relèvement de la règle de qualification aux candidats ayant réunis 12,5% des inscrits ou, à défaut, des deux - et deux seuls - candidats arrivés en tête. [url=http://www.oxpdf.fr/chm-to-pdf-converter.html]CHM en PDF Convertisseur[/url] [url= http://www.oxpdf.fr/djvu-to-pdf-converter.html]DjVu en PDF Convertisseur[/url] [url=http://www.oxpdf.fr/pdf-to-epub-converter.html]PDF en ePub Convertisseur[/url] La campagne, surtout, débute alors que beaucoup dans la majorité appréhende la «spirale de la défaite, selon l'expression d'un ténor de l'UMP, qui, des cantonales aux sénatoriales de septembre, mène jusqu'à la présidentielle et les législatives». «Nous sommes sur le toboggan, explique un autre. Et sur un toboggan, on ne gère pas ni sa direction, ni sa vitesse, juste un peu sa trajectoire.» Déjà laminée dans les territoires par les élections intermédiaires qui se sont succédé depuis 2002, la droite craint de voir, à l'occasion du cru 2011 des cantonales, ses positions encore reculer. À telle enseigne qu'à l'UMP on ne mise officiellement plus que sur la bascule de deux départements: le Val-d'Oise - où la gauche ne dispose déjà plus de majorité - et la Seine-et-Marne - département du secrétaire général du parti, Jean-François Copé.
4 mars 2011

Un septuagénaire abat trois personnes en pleine rue

 

Le procureur a indiqué que le tireur avait d'abord abattu un autre retraité qui passait sur le quai, avant de tirer sur les deux agents municipaux. Il n'a en revanche pas donné d'explication du drame, soulignant que «l'enquête confiée à la gendarmerie visait à donner ces éléments». Les gendarmes ont rapidement établi un périmètre de sécurité autour de la scène du crime.

«J'étais à quelques mètres, je marchais dans la rue. J'ai vu passer avec un fusil M. Toro, un de mes voisins. Il a tiré sur un homme qu'il connaissait face à lui. Je me suis éloigné dans une rue à côté, j'ai appelé les gendarmes. Il y a eu deux autres détonations: je suis revenu, je l'ai vu retourner l'arme contre lui et appuyer sur la détente», a raconté un témoin de la scène à l'Agence France Presse, ajoutant que le premier meurtre n'avait été précédé d'aucune dispute.

Un homme de 78 ans a tué jeudi deux employés municipaux et un passant à Rivesaltes, près de Perpignan, avant de tenter de se suicider. Son geste reste pour l'instant inexpliqué.

Une «folie meurtrière». Un septuagénaire armé d'un fusil a tué jeudi vers 16 heures deux employés municipaux et un retraité de 72 ans en pleine rue à Rivesaltes, près de Perpignan, avant de tenter de se suicider, a annoncé le procureur de Perpignan, Jean-Pierre Dreno. On ignore pour l'instant ce qui a motivé la fureur du septuagénaire.

2 mars 2011

La fièvre démocratique monte dans les pays arabes

 

Les manifestants anti-Saleh ont défilé lundi dans les rues de Sanaa, Yemen.
Les manifestants anti-Saleh ont défilé lundi dans les rues de Sanaa, Yemen. Crédits
 Oman à son tour dans la tourmente

Des blindés ont dispersé à Sohar des manifestants qui bloquaient le port et une route conduisant à la capitale, Mascate, à 200 km plus au sud, alors que des petits rassemblements ont eu lieu dans d'autres villes d'Oman pour réclamer des emplois, des hausses de salaires et le limogeage de plusieurs ministres. Le gouvernement, qui s'attendait à une quatrième journée de manifestations, avait déployé des troupes et des véhi­cules militaires autour de la capitale et le long de la frontière avec les Émirats arabes unis.

Le cœur de la capitale yéménite, Sanaa, a été bloqué mardi par des dizaines de milliers de manifestants, qui ont notamment scandé: «Le peuple veut la chute du régime, le peuple veut le départ d'Ali Abdullah Saleh.» L'influent prédicateur Abdel Majid Zendani, soupçonné de soutenir le terrorisme, a harangué la foule, plus nombreuse que jamais, en affirmant qu'il «soutenait les revendications des jeunes». Devant des journalistes, le président Saleh, un allié important des États-Unis contre al-Qaida, a affirmé que les soulèvements qui agitent le monde arabe «sont une tempête orchestrée de Tel-Aviv, sous la supervision de Washington». Il a limogé les gouverneurs de quatre provinces dans le Sud et d'une cinquième dans l'ouest du Yémen.

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1 mars 2011

Xavier Musca, un Corse au Palais de l'Éysée

L'anecdote en dit beaucoup sur le personnage. C'était au début de l'été 2010. Nicolas Sarkozy remettait la Légion d'honneur à Xavier Musca, originaire du village de Vico, en Corse du Sud. «Lorsque nous étions un peu plus jeunes, c'était Xavier,...

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PORTRAIT - Le nouveau secrétaire général de l'Élysée, inspecteur des finances et ancien directeur du Trésor, va devoir apprendre son nouveau métier. Au côté de Nicolas Sarkozy, dont il fut témoin de mariage.
28 février 2011

Solide, tellement solide, “Nole” a véritablement

 

Solide, tellement solide, “Nole” a véritablement popularisé une nouvelle façon de jouer au tennis. Fort physiquement (il a beaucoup travaillé sur ce point), doté d’un coup d’oeil remarquable, son absence quasi-totale de point faible peut vite s’avérer un casse-tête insoluble pour l’adversaire. Les deux pieds posés sur sa ligne de fond de court, il distribue le jeu à sa guise grâce à sa prise de balle précoce, tout en limitant au maximum les erreurs. Plus fort au service et au filet que le roi du tennis-ping-pong Davydenko, plus tranchant en coup droit que le métronome Murray, Novak Djokovic est le parfait archétype du joueur moderne, à l’aise sur toutes les surfaces. D’autant qu’il donne l’impression de s’être débarassé de son complexe face aux meilleurs dans les grands tournois. Sa première victoire en Australie, en 2008, était une jolie promesse. La deuxième sonne comme la preuve absolue que le Serbe a mûri. Sûr de ses forces, il lorgne désormais le fauteuil de maître Nadal. Les joutes futures entre les deux hommes devraient valoir le coup d’oeil.

Le vent a semble-t-il tourné. Près d’un mois après avoir imposé sa loi à Roger Federer en demi-finale de l’Open d’Australie (7/6, 7/5, 6/4), le Serbe Novak Djokovic a remis le couvert à Dubaï ce samedi. Encore plus dominateur qu’à Melbourne, le “Djoker” n’a fait qu’une bouchée (6/3, 6/3) d’un Suisse dépassé, qui a laissé entrevoir quelques signes inquiétants. Las, presque résigné, il a laissé Djokovic cueillir le 20e titre de sa carrière aux émirats. Un “Djoko” impressionant, redevenu performant au service après une période de disette, et qui s’impose sans conteste comme l’homme fort de ce début de saison. Au point de se poser en principal rival de l’ogre de Manacor, tel un numéro 1 mondial en puissance. L’heure du “Djoker” a sonné.

25 février 2011

Seul le Paris SG s'en sort

 

Peguy Luyindula et le Paris SG affronteront Benfica en 8es de finale
Peguy Luyindula et le Paris SG affronteront Benfica en 8es de finale Crédits photo : Panoramic
Le joueur du match
De retour après son absence face à Nice dimanche dernier (0-3), Mathieu Bodmer a été très présent au milieu de terrain. Avec son compère Chantôme, il s'est montré disponible et a été le dynamiteur du jeu parisien. Un des rares joueurs capables de changer le rythme et d'accélérer pour surprendre l'arrière-garde biélorusse.
Avec une équipe volontairement remaniée par Antoine Kombouaré, le Paris SG a fait match nul 0-0 devant le BATE Borisov et s'est péniblement qualifié pour les huitièmes de finale de la Ligue Europa. En première période, les Parisiens prenaient l'ascendant sur la formation biélorusse et se procuraient rapidement les premières situations dangereuses. Sur un corner rentrant de Clément, Erding reprenait le ballon de la tête pour le loger au deuxième poteau. C'était sauvé sur la ligne du pied par un défenseur (4e). Sur un centre depuis la gauche de l'attaquant turc, Luyindula coupait la trajectoire du ballon au premier poteau. Mais sans pouvoir attraper le cadre (11e). Le numéro 8 du PSG se retrouvait dans la même situation un peu plus tard sur un service de Chantôme et était toujours aussi maladroit (20e). Le BATE Borisov croyait pouvoir en profiter. Mais la tête de Volodko au deuxième poteau passait à côté de la cage d'Edel qui n'avait pas été inquiété jusque-là (45e).
24 février 2011

Le clan Kadhafi à la loupe

INFOGRAPHIE - Les enfants du «Guide», issus de deux mariages, sont tous impliqués à des degrés divers dans les affaires de l'État libyen. Plusieurs ont été pressentis pour lui succéder.

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23 février 2011

Coupe Davis : Simon, Llodra, Gasquet et Benneteau face à l'Autriche

En l'absence de Tsonga et Monfils, Gasquet devrait être aligné en simple face à l'Autriche en Coupe Davis.

L'Autriche s'appuiera principalement sur son numéro 10 mondial, Jurgen Melzer, mais ne compte aucun autre joueur dans le Top 100. En revanche, les Bleus ont un effectif plus homogène, puisque Llodra (numéro 27), Gasquet (numéro 28) et Simon (numéro 33) se suivent au classement, et que Benneteau (numéro 80), revient de plusieurs mois de blessure et devrait remonter au cours de l'année dans la hiérarchie.

Le capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis, Guy Forget, a retenu, mardi, Richard Gasquet, Gilles Simon, Michaël Llodra et Julien Benneteau pour affronter l'Autriche, du 4 au 6 mars à Vienne pour le premier tour.

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Selon toute vraisemblance, Richard Gasquet et Gilles Simon, a priori les plus à l'aise sur terre battue, seront alignés en simple, Llodra et Benneteau devant être associés en double. "C'est effectivement possible que cela se passe de cette façon, a confirmé Forget. Maintenant, tout le monde doit se préparer au mieux en simple comme en double pour parer à toutes éventualités."

Forget a dû composer avec les absences des deux meilleurs Bleus, Gaël Monfils (numéro 12 mondial), victime d'une inflammation du poignet gauche, et Jo-Wilfried Tsonga (numéro 17), souffrant d'une hernie inguinale.

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